Jean-Pierre Grotti - Ecrivain romancier - Aude
aguillou josiane.aguillou@orange.fr
josy- Narbonne
que dire! je reste sans voix lorsque je termine un de vos livres mais imbibée de soleil, de joie, et de mélancolie parfois. tous ces personnages "sortis" de votre imagination sont si vrais qu'il me semble avoir croisé Juliette,Paul, Ernest ou Joaquim au cours de ma vie. Personnages si attachants qu'une fois le livre fermé ils restent dans ma mémoire. Comme les paysages ces "ailleurs" si près de nous et en nous parfois que l'on croit reconnaître notre coin préféré des Corbières.C'est toujours un grand moment de partage lors des rencontres lecture comme celle du vendredi 22 juillet 2016 alors merci pour votre humanité, votre poésie et votre humour, vous êtes si près de nous vos lecteurs. Si pour certains vous n'êtes pas un auteur dit "du terroir" pour moi vous êtes un véritable auteur de "la terre" de notre belle terre languedocienne. Vite au prochain ouvrage car maintenant je les possède tous. Bravo!et merci pour tout ce bonheur

regnier jean-pierre.regnier0895@orange.fr
revoir Margot dans ce décor de village du sud,cette histoire est passionnante car elle pourrait être vraie,très bien décrite par son auteur dont j'apprécie le style d'écriture
bravo et au prochain roman
Martinez cat.martinez@free.fr
Quelle merveille ce livre "le long chemin de Joaquin l espagnol" je n ai pas pu le lâcher belle histoire qui m a replongé ds le passé terrible du fascisme Merci pour ce parfum d Espagne et de liberté
Yolande Possamaï argensyo@sfr.fr
Bonjour,
Avez vous un livre uniquement sur Argens Minervois SVP
Je viens de m'y installer et je voudrais si possible connaitre le passé de ce sympathique village.
Merci d'avance YP
Dilys Annie dilys.sa@orange.fr
bonjour, je viens de finir la vigne de Jean. Un vrai bon moment, de l'émotion aussi. Je vous ai découvert par hasard dans une grande surface de l'Ariège. Je vais certainement lire vos autres livres
Marie. J mariemarie.jobert@laposte.net
Bonjour
Je viens de finir la lecture du roman "Le long chemin de Joaquin l'Espagnol". Découverte...Emerveillement..
La première chose qui me saute aux yeux, les moulins, les barbelés, et Don Quichotte de la Mancha. Là, tous les sens sont en éveil...et pour cause, mon père était Manchégo..
Je suis née en France de parents espagnol. Sur son lit de mort, mon père s 'est mis à parler d'une partie de sa vie que je ne connaissais pas ...Son père mon grand-père fût exécuté durant cette guerre, mon père avait 6 ans. Leur ferme leur fût enlevée, ils se retrouvèrent errant, lui et sa mère.
Il finit par quitter Arénas de San juan village de la région, se réfugiant à Valencia...
Les personnages de votre roman, ne sont pas fictifs, ils sont si vrai que j'ai l'impression que vous racontez mon histoire et ce passé que je ne connais pas ...
Je me souviens que durant les vacances nous allions en Espagne en train chez une tante qui vivait près d'une caserne de la guardia civil...Je me souviens , l'index en travers de ses lèvres à chaque fois que nous passions devant..."calla te" ... La moindre mot devenait un secret...
En vous lisant j'ai suivi le chemin de mon père, la cruauté, les coups et par dessus tout les silences, l'interdiction de parler qui fût ancré en lui jusqu'à sa mort... Se taire et baisser les yeux, avancer, travailler, cravacher, se taire , se taire pour vivre sinon survivre...
En France un étranger et en Espagne un TRAITRE...Culpabilisé jusqu'à sa mort, pour avoir voulu survivre....
Moi? Ici j'étais la voleuse du pain Français et la bas j'étais l'étrangère la franchutti comme on me disait! En fait de nulle part!
A travers vous , c'est mon père qui m'a raconté l'histoire...Je comprends certaines choses de mon passé alors qu'il y avait un épais rideaux ... Peut-être suis-je égoïste, j'aimerais assez lire une suite... Comment vécurent Marie et Rose...

Merci Monsieur pour ce beau partage et ces recherches que vous dû surement faire....
Merci
Marie (hé oui)
peyrot joel-peyrot@voila.fr
"Monsieur Ernest, tu vas rire...J'ai aussi deux enfants : MAGALI et...ALBAN ..Enfin des prénoms de chez NOUS;ton récit vient de me faire prendre conscience de la dernière mi-temps de ma vie qu'il me reste et ce passé si bien décrit; j'en redécouvre le mien,enfouis au plus profond de mon vécu.....Merci
peyrot joel-peyrot@voila.fr
Audois de souche" Rouffiacois",du vécu;"le figuier..." un pur bonheur au point qu'une perle coule le long de ma joue causés par notre soleil et l'âge bien entendu....Merci pour ce moment de lecture ,représentatif de toute mon enfance...JOËL.... 8/8/15
Anne Marie Pons amcaspon@gmail.com
J'ai lu" Pas pleurer" de Lydie Salvayre le mois dernier et je viens de terminer la lecture de " Le long chemin de Joaquin l'espagnol": c'est vous qui auriez dû avoir le prix Goncourt!je m'explique:j'ai trouvé dans votre récit ce que je cherchais dans le livre primé.Votre Joaquin nous fait vivre la terreur imposée aux républicains sous Franco, encore en 1946..10 ans après la fin de la guerre civile. Merci pour ces rencontres d'hommes et de femmes forts,dignes et courageux et pour ces belles pages apaisantes dans la nature.
Anne BEDOUET nanoubed@hotmail.fr
Je n'ai pas encore eu le plaisir de lire l'un de vos livres. J'ai acheté un de vos livres (à Bize Minervois l'été dernier) pour l'offrir à ma maman qui adore lire et elle a beaucoup apprécié votre plume et m'a dit "tu peux m'acheter le prochain" ! Maintenant, à moi de le lire. Je vais en profiter pour en commander un autre (encore pour ma maman !) Bonne continuation
Annie Darbas
Merci pour cette belle écriture, pour ces personnages bien campés dans la vraie vie et pour cette nature chatoyante et pleine de poésie.
A bientôt le prochain roman
claudette klein claudette.klein@sfr.fr
j'ai eu le grand plaisir de vous rencontrer à la bibliothèque de rieux minervois, merci de ce bon moment, merci de nous avoir fait partager votre passion
annie maffre anniemaffre@hotmail.com
je suis en possession du figuier de Paul dédicacé par l auteur à Bizes Minervois par l auteur le 21 juillet 2013 et je le savoure. Ce roman est plein de tendresse.
Gérard ARTAUDeudoxie artaud.g00@free.fr http://wwwcroustadeseudoxie.fr
Beaucoup de mamans se retrouveront dans la vigne de Jean. Un vrai moment de plaisir. Merci
Véronique v.chuffart139@yahoo.fr
Après une visite à Terra Vinea où j'ai découvert vos livres, j'ai dévoré Le figuier de Paul et Juliette d'Estignan pendant mes vacances entre Perpignan, Narbonne et Bédarieux. Votre plume m'a permis de m'imprégner encore mieux de cette ambiance du sud de la France. Un régal! Merci
Martine martineclement11@orange.fr
le 26 juillet dernier au géant casino de Narbonne, j'ai été bien inspirée de me procurer votre dernier livre "le vieil homme qui rêvait d'amour". Cet ouvrage est plein de fraicheur et chaque soir je me régalais par avance de le retrouver. Bravo
Hébrard annie-france.albano@laposte.net
J'ai acheté à la foire de Narbonne en mai votre livre "ma dernière année de classe". Quelle joie de le lire cet été: amour des enfants, du travail bien fait, vous êtes un vrai humaniste et pédagogue, vraiment bravo.... et chose rare, mon mari qui ne lit que des revues a aussi apprécié votre ouvrage. Que ces enfants ont dû vous manquer!
Chatillon nadine Nadinechatillon@gmail.com
Je viens de dévorer votre petit dernier : Le vieil homme...Un régal ! Çà m'a ému. Belle analyse du comportement de l'humain. Confirmation du vieil adage : " il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis "
Je le conseille à mes amis.
PS pourriez vous poster sur votre site ou votre page Facebook l'agenda de vos prochaines séances dédicaces
Béatrice beatrice@picon-larroque.fr
je vous ai rencontré au Leclerc de Limoux et je suis entrain de lire "le figuier de Paul" : magnifique ! une très belle histoire "racontée" ... je vais continuer à vous découvrir. Une bonne dose d'humanité dans ce monde....A bientôt !
Sylvie Duchene sylvie.duchene@rpn.ch
Je viens de finir "Le figuier de Paul" et j'ai adoré ce livre si nostalgique et qui me fait mieux comprendre cette région où mes parents passent leur retraite (je vis en Suisse). C'est triste tous ces viticulteurs qui mettent la clé sous la porte et ces villages qui se vident. Heureusement que les "estrangers" ont acheté et retapé les vieilles maisons... Pour moi, le passage le plus triste du livre (mise à part la vie en marge d'Ernest)est lorsque les vieux chevaux sont vendus à l'abattoir pour être remplacés par des tracteurs au lieu de passer leur retraite dans un champ.
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